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25 octobre 2019

VACCIN GARDASIL, TOME 2: LES INCONVENIENTS


La vaccination généralisée de toutes les adolescentes et adolescents contre les papillomavirus (HPV) est l'objectif avoué mais contesté des autorités de santé. Après s'être penchés sur ces vaccins et leur efficacité incertaine, voici le côté pile du problème, à savoir les inconvénients, les risques et les accidents potentiels de ces vaccins.





QUE SAIT-ON DES EFFETS SECONDAIRES 

POSSIBLES DES VACCINS ANTI-HPV ?




Effets indésirables du GARDASIL (2006-2011
)

Les premières données de la pharmacovigilance française (ANSM) ont été regroupées sur les 5 premières années (2006/2011) de l'utilisation des 2 vaccins pour lesquels le Gardasil a été nettement plus utilisé (4,3 millions de doses vaccinales) que le Cervarix (131.000 doses). Un total de 352 effets considérés comme "graves" ont été retenus pour le Gardasil, soit une fréquence de 8/100.000 doses ou 24 cas/100.000 vaccinées (schéma à 3 doses). La même proportion a été retrouvée pour le Cervarix. [20]Le tableau ci-joint montre un prédominance d'effets immédiats sous forme de syncopes, parfois avec manifestations convulsives. Les effets notifiés sur le long terme sont surtout des manifestations neurologiques de démyélinisation et diverses pathologies auto-immunes (tableau ci-contre).




Le second rapport de pharmacovigilance du 11.09.2018 publié par l’ANSM [21] comptabilise pour le Gardasil 742 cas graves d’effets indésirables déclarés et 59 pour le Cervarix depuis la commercialisation en France de ces deux vaccins. Ce taux de notification parait stable par rapport aux années antérieures, un peu moindre pour le Cervarix (qui est très peu prescrit en France). Les pathologies signalées sont globalement identiques, avec des maladies neurologiques démyélinisantes et des pathologies auto-immunes. Sur la période 2006/2018 (12 ans), il a donc été recensé en France 801 cas « graves » post-vaccinaux. Ces chiffres sont à interpréter en sachant que la déclaration spontanée des effets indésirables post-vaccinaux par le personnel de santé souffre d’une sous-notification chronique, qui ne permet d’enregistrer que moins de 10% d’entre eux et que le système de déclaration spontanée en ligne par les victimes potentielles elles-mêmes est encore trop récent et méconnu.


Ce rapport pointe de plus un nombre de narcolepsies et d’hypersomnies disproportionné par rapport aux années précédentes. Le nombre de narcolepsies (avec ou sans cataplexie) est de 10 cas après vaccination par Gardasil et 1 cas après Cervarix. Les cas d’hypersomnie sont de 8, toutes survenues après un vaccin Gardasil. A rajouter dans le même registre 3 observations de syndrome de Kleine-Levin (hypersomnie avec boulimie), également après Gardasil. La narcolepsie est une affection très rare (incidence annuelle de moins de 1/100.000 personnes) et quelques cas groupés étaient survenus surtout dans les pays nordiques mais aussi en France lors de la période de vaccination contre la grippe H1N1, puisque plusieurs études épidémiologiques avaient mis en évidence une association significative. L’adjuvant à base de squalène (contenu dans le vaccin Pandemrix) avait été surtout pointé du doigt. La surveillance rapprochée pour ces deux vaccins anti-HPV reste donc d’actualité et amènera peut-être à une recherche spécifique sur le lien potentiel entre ceux-ci et l’apparition de cas de narcolepsies/hypersomnies, alors que l’EMA (Agence européenne du médicament) a estimé que la survenue post-vaccinale de ces pathologies rares n’était pas un signal d’alerte à retenir.


Une large étude française a par ailleurs été publiée en 2015 par l'ANSM et la CPAM [22]  pour tenter d’estimer au mieux l’incidence de certains effets secondaires post-vaccinaux potentiels. Un suivi durant 5 années (2008-2013) d’une cohorte de jeunes filles âgées de 13 à 16 ans, séparées en deux groupes, « exposées », c'est-à-dire vaccinées (842.120), et « non exposées » (1.410.596) a été recensé. Les adolescentes vaccinées ont surtout reçu le Gardasil (93%), avec un âge moyen de 15 ans pour la première dose. Les données médicales de la survenue éventuelle de certaines pathologies ont été recueillies auprès de la base de données de l’assurance maladie (SNIIRAM). Les pathologies recherchées ont ciblé 14 affections auto-immunes, dont les principales sont les pathologies neurologiques démyélinisantes (SEP et syndrome de Guillain-Barré), des affections rhumatologiques (lupus, sclérodermie, myosites, polyarthrite), hématologiques (purpura thrombopénique), endocriniennes (diabète, thyroïdite) ou gastro-intestinales (Crohn, rectocolite, maladie cœliaque). La durée moyenne de suivi a été de 30 mois pour les adolescentes non vaccinées et de presque 20 mois pour les sujets dit « exposées ». La survenue d’une maladie auto-immune durant cette phase de surveillance a été observée chez 3.974 jeunes filles, soit 2.978 personnes non vaccinées et 996 sujets vaccinés. A signaler que cette étude n’a pas pris en compte les autres vaccinations probablement réalisées dans cette même tranche d’âge (rappel DTPolio, vaccin antigrippal…) et dont certaines (DTPolio et DTCoqPolio) contiennent un adjuvant aluminique. Or certaines maladies auto-immunes peuvent survenir à de nombreuses vaccinations (comme par exemple la mini-épidémie de syndromes de Guillain-Barré survenue aux USA en 1976 à la suite d’une campagne de vaccination contre la grippe porcine). Il n’est donc pas impossible que la population dite « non-exposée » ait reçu  une vaccination autre que le vaccin HPV, avec une éventuelle pathologie auto-immune secondaire. Ce biais est donc susceptible de fausser les résultats de cette étude cas/témoins. 

L’analyse statistique n’a pas révélé de risque supplémentaire de survenue de pathologies auto-immunes dans la population vaccinée, à l’exception de cas de syndromes de Guillain-Barré où l’association est statistiquement significative. Le risque global de voir survenir cette affection est majoré par un facteur de 3,96 par rapport à la population non-vaccinée. Ce risque est plus net, avec un facteur de 5,35 lorsque l’on ne tient compte que des cas survenus lors des deux premiers mois suivant une vaccination (délai qui est habituellement observé dans la littérature médicale). A signaler également que les observations de myofasciite à macrophages (MFM) n’ont pas été retenues dans cette étude en raison de l’absence de « critères reconnus ». Ce qui est un moyen d’éviter de recenser une pathologie récemment décrite et qui pose il est vrai, des questions dérangeantes, notamment le rôle neurotoxique de l’adjuvant aluminique. Le syndrome de fatigue chronique ou « encéphalomyélite myalgique » (SFC/EM), dont relève la MFM, est pourtant officiellement reconnu dans la classification CIM-10 des maladies. Il n’a pas non plus été intégré parmi les pathologies recherchées et l’on sait bien que l’on ne retrouve que ce que l’on cherche.



Certaines autres « nouvelles » pathologies ont également été rapportées dans les suites de vaccinations anti-HPV depuis 2013. 
- Au Japon, une publication a d’abord décrit une série de 40 cas de CRPS (syndrome de douleurs régionales complexes) [23] ayant pour conséquence l’arrêt, au bout de 2 mois, de la campagne vaccinale mis en place par les autorités sanitaires de ce pays.  
- Au Danemark, c’est un groupe de 35 sujets [24] se plaignant de symptômes regroupés sous l’acronyme POTS (syndrome de tachycardie orthostatique posturale) qui est rapporté. 
- Chez les adolescentes voisines du Pays-Bas, ce sont des observations de syndromes de fatigue chronique ou encéphalopathie myalgique (SFC/EM) qui sont recensées [25] avec le Cervarix. 

Toutes ces pathologies inexpliquées ont en commun des symptômes assez banals : outre la fatigue persistante, des céphalées, des vertiges, des faiblesses musculaires ou des myalgies des membres et parfois des troubles du sommeil, des troubles neurocognitifs, des palpitations, des troubles vaso-moteurs… Malgré ces alertes multiples, l’EMA (Agence européenne du médicament) a conclu que ces symptômes indéfinis n’avaient pas de lien prouvé avec la vaccination anti-HPV. 

Il est bien sûr logique de tenter de regrouper ces différents syndromes qui pourraient avoir comme origine commune le rôle délétère de l’adjuvant à base d’aluminium contenu dans la plupart des vaccins comme ceux dirigés contre le HPV (Ce d’autant que l’adjuvant du Gardasil est de l’hydroxyphosphate d’aluminium qui beaucoup plus immunogène). La difficulté d’établir un lien de causalité est surtout le délai qui sépare l’injection de l’adjuvant aluminique et le début des manifestations de ces maladies. Ces pathologies peuvent s’installer progressivement avec un décalage qui peut être de quelques années pour la MFM. Les observations de MFM rapportées à la pharmacovigilance française ou les cas de POTS ou CRPS rapportés dans les pays concernés restent peu nombreux probablement pour cette raison. Il est vrai que ni les personnes atteintes ni les médecins ne pensent systématiquement à faire le rapprochement entre ce type d'affections et une vaccination anti-HPV ou une autre immunisation, réalisée quelques mois ou années avant puis oubliée.

Il faut également se souvenir que la plupart des études de tolérances des vaccins comparent des cohortes de personnes vaccinées et de personnes recevant un placebo qui contient habituellement l’adjuvant aluminique du vaccin. Il est bien évident que si l’aluminium vaccinal est à l’origine de certaines pathologies comme la MFM ou le SFC/EM, celles-ci ne seront jamais mises en évidence par de tels protocoles d’étude. C’est ce qui s’est passé pour le Gardasil. L’utilisation d’un pseudo-placebo (contenant l’adjuvant aluminique) permet de générer possiblement des effets indésirables dans le groupe contrôle, ce qui minore un éventuel signal d’effet secondaire dans le groupe vacciné. 

Le protocole de l’essai clinique « princeps » de l’industriel Merck a utilisé des procédures permettant de négliger ou ignorer certains effets secondaires possibles. Seuls les évènements indésirables considérés comme « graves » par les expérimentateurs devaient être rapportés. Les autres étaient classés paradoxalement dans une rubrique « nouveaux antécédents médicaux »…[26]. De plus la fenêtre de surveillance d’éventuelles complications post-vaccinales est restée limitée à 14 jours, alors que la survenue d’une pathologie auto-immune peut être évidemment beaucoup plus tardive. Le laboratoire a de plus décidé de ne mentionner, dans ses recommandations officielles, que les affections post-vaccinales dont la fréquence serait supérieure à 1%. Il est bien évident que lorsqu’un vaccin est utilisé à l’échelle mondiale, chez des millions de personnes, l’omission de ce petit pourcentage peut permettre de ne pas mentionner des pathologies graves et inattendues même si elles sont rares. C’est ainsi par exemple, qu’une myasthénie grave a été récemment décrite en Corée, 3 jours après une seconde injection de Gardasil 9, chez une femme de 23 ans [27].


Les atypies du système officiel de surveillance des effets indésirables post-vaccinaux ne facilitent ni leurs déclarations ni leurs reconnaissances, alors que l’on sait déjà que les professionnels de santé déclarent spontanément moins de 10% des effets secondaires post-vaccinaux. Et quand bien même une pathologie suspecte est rapportée à la pharmacovigilance nationale (ANSM) et apparait sur ses rapports officiels, celle-ci ne sera pas systématiquement visible dans le RCP (résumé des caractéristiques du produit) du vaccin qui est destiné à informer et alerter les médecins à propos d’éventuels effets secondaires post-vaccinaux. Le RCP du Gardasil oublie de mentionner par exemple la possibilité d’une affection démyélinisante ou d’une névrite optique alors ce sont les principales affections neurologiques rapportées par l’ANSM. Aucune mention non plus de thyroïdite, de lupus ou de polyarthrite. Malgré la multiplication progressive de cas de narcolepsies et hypersomnies, l’ANSM n’a pas jugé bon de demander aux laboratoires de le rajouter dans la liste des effets indésirables. Si l’on compare les listes de ces effets secondaires possibles du Gardasil 9, d’un continent à l’autre [28], on s’aperçoit que les adolescentes américaines et canadiennes peuvent être sujettes à d’éventuelles complications que les européennes ne présenteraient pas : anémie hémolytique auto-immune, myélite transverse, maladie du motoneurone (c'est-à-dire sclérose latérale amyotrophique), embolie pulmonaire… et décès. Vérité au-delà de l’Atlantique, mensonge en deçà ?


Autre fait alarmant, la présence dans les ampoules du vaccin Gardasil de fragments d’ADN, attachés aux nanoparticules d’adjuvant aluminique, constatation rapportée par le Dr Lee [29]. Sur 16 échantillons de vaccins en provenance de 9 pays différents, ce sont des fragments d’ADN de virus HPV qui ont été ainsi détectés. Ceci pose problème sur leur devenir une fois injectés, cet ADN va-t-il suivre le cheminement de l’adjuvant aluminique auquel il est collé, notamment jusqu’au cerveau ?


CONCLUSIONS PROVISOIRES

  « La pratique généralisée des frottis cervico-vaginaux devrait faire diminuer ce type de cancer en permettant un dépistage précoce et efficace des lésions précancéreuses. Si cet examen était pratiqué régulièrement, le cancer du col de l'utérus deviendrait exceptionnel. » (Institut Curie – 2014). Ce frottis est encore trop peu organisé en France alors qu’il devrait être réalisé en principe tous les 3 ans entre 25 et 65 ans, peu couteux (20,22 €) et pris en charge à 100%. Le message principal des autorités sanitaires repose surtout et avant tout sur la promotion d’une vaccination onéreuse (136 € la dose) mais miraculeuse qui pourrait presque faire croire que l’on est protégé à vie et que les frottis sont devenus superflus. Cet effet pervers risquerait d’aboutir à majorer l’incidence du cancer du col si les autorités sanitaires ne savent pas faire passer le message de l’importance de ce dépistage régulier chez toutes les femmes, qu’elles aient été vaccinées ou non. 

  
 
La généralisation (et bientôt pourquoi pas l’obligation ?) de cette vaccination à toutes les adolescentes puis chez tous les adolescents ensuite, serait un gouffre financier : 2 vaccins à 136 € plus le prix des visites à multiplier par 370.000 filles à vacciner chaque année représente un budget avoisinant les 200 millions d’euros. 
Un passage en force se prépare d'ailleurs déjà. Une "expérimentation" (terme officiel) dans certaines zones géographiques (Guyane, Grand Est) va inciter tous les collégiens (garçons et filles) à recevoir un vaccination gratuite dans l'enceinte des établissements scolaires. Va-t-on demander pour cela une autorisation parentale préalable (celle-ci n'est en effet plus nécessaire à partir de l'âge de 15 ans). On a l'impression de revivre la campagne effrénée de vaccinations contre l'hépatite B des années 90, brutalement interrompue 4 ans plus tard par le Ministre de la Santé de l'époque du fait de l'accumulation de cas de scléroses en plaques.

Est-ce qu’il existe une urgence et une menace nationale telles que l’on priverait le budget de la Santé d’une telle somme aux dépends d’autre priorités sanitaires plus évidentes ? Ceci ne tient pas compte bien sûr de la prise en charge médico-sociale et des séquelles liées aux effets indésirables de cette vaccination à large échelle.


La vaccination anti-HPV, non seulement ne protège pas, mais augmente le nombre de cas de lésions précancéreuses du col utérin si les femmes vaccinées ont déjà été contaminées, ce qui est relativement fréquent dès le début de l’activité sexuelle. La pratique de soi-disant « rattrapages » vaccinaux chez les femmes de plus de 15/16 ans est donc nocive.



Aucune certitude n’existe actuellement sur la durée d’action des vaccins réalisés à l’adolescence et sur l’évolution des anticorps post-vaccinaux. Des rappels vaccinaux ne seront-ils pas nécessaires ? Même si cette protection contre les principales souches vaccinales oncogènes (16, 18 …) se prolonge, rien ne prouve que ceci permettra de faire disparaitre progressivement les cancers du col de l’utérus. Il n’est pas exclu que d’autres génotypes viraux viennent contaminer les cellules du col utérin et remplacer les souches antérieures qui auront été écartées.  

La présence de contaminants d’ADN viral dans le Gardasil (alors que la notice mentionne bien l’absence de toute trace d’ADN dans ce vaccin), banalisée par les autorités de santé, est-elle sans conséquences ? N’est-ce pas là un défaut de fabrication de la part du laboratoire producteur ? Les effets indésirables potentiels des vaccins contre le HPV actuellement sur le marché sont variés et graves. Certains (syndrome de Guillain-Barré) sont certainement en lien avec cette vaccination. D’autres observations ponctuelles sont très troublantes, voire plus que suspectes comme la survenue de cette encéphalomyélite aigüe disséminée (ADEM). [30]

Les vaccins doivent être considérés comme des médicaments, ils sont divers et variés. Ils comportent des bénéfices mais aussi des risques, peut-être rares mais réels, survenant chez certaines personnes et pas d’autres. Et notre connaissance des effets secondaires est souvent tristement incomplète, trop peu documentée et rarement rapportée. Dans le cas présent du vaccin anti-HPV, est-ce que le risque ne l’emporte pas ici nettement sur un bénéfice plus que douteux? Face à une telle volonté d’imposer la généralisation de la vaccination HPV à toute une population d’adolescents malgré les nombreuses incertitudes qui persistent, la question d’une alliance dogmatique entre leaders d’opinion, autorités sanitaires et industriels doit de poser.


Comme on a pu le lire récemment dans la revue indépendante PRESCRIRE (mars 2019) : « Toutes les informations critiques sur les vaccins ne sont pas des « fake news » ou des stupidités. Le débat aurait beaucoup à gagner si les pouvoirs publics et les soignants les plus favorables à la vaccination n’en exagéraient pas les bénéfices et n’en minimisaient pas les risques ».


Dominique Le Houézec

Conflits d'intérêts néant (sauf l'intérêt de l'enfant)



[20] AFSSAPS. Suivi national des effets indésirables du vaccin papillomavirus humain Gardasil. Commission nationale de pharmacovigilance 22 nov. 2011
[21] ANSM  Réunion du Comité technique de Pharmacovigilance - Séance du 11.09.2018
[22] ANSM/CNAMTS. Vaccins anti-HPV et risque de maladies auto-immunes : étude pharmaco-épidémiologique. 02.09.2015.  
[23] KINOSHITA T. et coll. Peripheral sympathetic nerve dysfunction in adolescent Japanese girls following immunization with the human papillomavirus vaccine. Intern Med. 2014; 53:2185–200.  
[24] BRINTH L.S. et coll. Orthostatic intolerance and postural tachycardia syndrome as suspected adverse effects of vaccination against human papilloma virus. Vaccine. 2015; 33(22):2602–5.
[25] LAREB. Long-lasting adverse events following immunization with Cervarix. Dec. 2015
[26] JOELVING F. « Les essais cliniques du Gardasil ont-ils passé sous silence des effets secondaires ? »  et  « Gardasil, comment le laboratoire s’est mis lui-même une balle dans le pied ». Slate 05.01.2018
[27] CHUNG J.Y. Myasthenia gravis following human papillomavirus vaccination: a case report. BMC Neurol. 2018; 18:222
[28] AIMSIB. Gardasil 9: les françaises plus résistantes que les américaines 20.02.2019
[29] LEE S.H. Detection of human papillomavirus (HPV) L1 gene DNA possibly bound to particulate aluminum adjuvant in the HPV vaccine Gardasil® Journal of Inorganic Biochemistry 2012; 117: 85-92
[30] FR3-Réseau d’enquêtes : « Vaccin, un trésor contesté » (Passage de 4 à 11 mn 30) diffusé le mardi 09.04.2019


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