La vaccination généralisée de toutes les adolescentes et adolescents contre les papillomavirus (HPV) est l'objectif avoué mais contesté des autorités de santé. Après s'être penchés sur ces vaccins et leur efficacité incertaine, voici le côté pile du problème, à savoir les inconvénients, les risques et les accidents potentiels de ces vaccins.
QUE SAIT-ON DES EFFETS SECONDAIRES
POSSIBLES DES VACCINS ANTI-HPV ?
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Effets indésirables du GARDASIL (2006-2011) |
Les premières données de la pharmacovigilance
française (ANSM) ont été regroupées sur les 5 premières années (2006/2011) de l'utilisation des 2 vaccins pour lesquels le Gardasil a été nettement plus
utilisé (4,3 millions de doses vaccinales) que le Cervarix (131.000 doses). Un
total de 352 effets considérés comme "graves" ont été retenus pour le
Gardasil, soit une fréquence de 8/100.000 doses ou 24 cas/100.000 vaccinées
(schéma à 3 doses). La même proportion a été retrouvée pour le Cervarix. [20]Le tableau
ci-joint montre un prédominance d'effets immédiats sous forme de syncopes,
parfois avec manifestations convulsives. Les effets notifiés sur le long terme
sont surtout des manifestations neurologiques de démyélinisation et diverses
pathologies auto-immunes (tableau ci-contre).
Le second rapport de pharmacovigilance du 11.09.2018 publié par l’ANSM [21] comptabilise pour le Gardasil 742
cas graves d’effets indésirables déclarés et 59 pour le Cervarix depuis la
commercialisation en France de ces deux vaccins. Ce taux de notification parait
stable par rapport aux années antérieures, un peu moindre pour le Cervarix (qui
est très peu prescrit en France). Les pathologies signalées sont globalement
identiques, avec des maladies neurologiques démyélinisantes et des pathologies
auto-immunes. Sur la période 2006/2018 (12 ans), il a donc été recensé en
France 801 cas « graves » post-vaccinaux. Ces chiffres sont à
interpréter en sachant que la déclaration spontanée des effets indésirables
post-vaccinaux par le personnel de santé souffre d’une sous-notification
chronique, qui ne permet d’enregistrer que moins de 10% d’entre eux et que le
système de déclaration spontanée en ligne par les victimes potentielles
elles-mêmes est encore trop récent et méconnu.
Ce rapport pointe de plus un nombre de narcolepsies et
d’hypersomnies disproportionné par rapport aux années précédentes. Le nombre de
narcolepsies (avec ou sans cataplexie) est de 10 cas après vaccination par
Gardasil et 1 cas après Cervarix. Les cas d’hypersomnie sont de 8, toutes
survenues après un vaccin Gardasil. A rajouter dans le même registre 3
observations de syndrome de Kleine-Levin (hypersomnie avec boulimie), également
après Gardasil. La narcolepsie est une affection très rare (incidence annuelle
de moins de 1/100.000 personnes) et quelques cas groupés étaient survenus
surtout dans les pays nordiques mais aussi en France lors de la période de
vaccination contre la grippe H1N1, puisque plusieurs études épidémiologiques
avaient mis en évidence une association significative. L’adjuvant à base de
squalène (contenu dans le vaccin Pandemrix) avait été surtout pointé du doigt.
La surveillance rapprochée pour ces deux vaccins anti-HPV reste donc
d’actualité et amènera peut-être à une recherche spécifique sur le lien
potentiel entre ceux-ci et l’apparition de cas de narcolepsies/hypersomnies,
alors que l’EMA (Agence européenne du médicament) a estimé que la survenue
post-vaccinale de ces pathologies rares n’était pas un signal d’alerte à
retenir.
Une large
étude française a par ailleurs été publiée en 2015 par l'ANSM et la CPAM [22] pour tenter
d’estimer au mieux l’incidence de certains effets secondaires post-vaccinaux
potentiels. Un suivi durant 5 années (2008-2013) d’une cohorte de jeunes
filles âgées de 13 à 16 ans, séparées en deux groupes, « exposées »,
c'est-à-dire vaccinées (842.120), et « non exposées » (1.410.596) a
été recensé. Les adolescentes vaccinées ont surtout reçu le Gardasil (93%),
avec un âge moyen de 15 ans pour la première dose. Les données médicales de la
survenue éventuelle de certaines pathologies ont été recueillies auprès de la
base de données de l’assurance maladie (SNIIRAM). Les pathologies recherchées
ont ciblé 14 affections auto-immunes, dont les principales sont les pathologies
neurologiques démyélinisantes (SEP et syndrome de Guillain-Barré), des
affections rhumatologiques (lupus, sclérodermie, myosites, polyarthrite), hématologiques
(purpura thrombopénique), endocriniennes (diabète, thyroïdite) ou
gastro-intestinales (Crohn, rectocolite, maladie cœliaque). La durée moyenne de
suivi a été de 30 mois pour les adolescentes non vaccinées et de presque 20
mois pour les sujets dit « exposées ». La survenue d’une maladie
auto-immune durant cette phase de surveillance a été observée chez 3.974 jeunes
filles, soit 2.978 personnes non vaccinées et 996 sujets vaccinés. A signaler
que cette étude n’a pas pris en compte les autres vaccinations probablement
réalisées dans cette même tranche d’âge (rappel DTPolio, vaccin antigrippal…)
et dont certaines (DTPolio et DTCoqPolio) contiennent un adjuvant aluminique.
Or certaines maladies auto-immunes peuvent survenir à de nombreuses vaccinations
(comme par exemple la mini-épidémie de syndromes de Guillain-Barré survenue aux
USA en 1976 à la suite d’une campagne de vaccination contre la grippe porcine).
Il n’est donc pas impossible que la population dite « non-exposée »
ait reçu une vaccination autre que le vaccin HPV, avec une éventuelle
pathologie auto-immune secondaire. Ce biais est donc susceptible de fausser les
résultats de cette étude cas/témoins.
L’analyse statistique n’a pas révélé de risque
supplémentaire de survenue de pathologies auto-immunes dans la population
vaccinée, à l’exception de cas de syndromes de Guillain-Barré où
l’association est statistiquement significative. Le risque global de voir
survenir cette affection est majoré par un facteur de 3,96 par rapport à
la population non-vaccinée. Ce risque est plus net, avec un facteur de 5,35
lorsque l’on ne tient compte que des cas survenus lors des deux premiers mois
suivant une vaccination (délai qui est habituellement observé dans la
littérature médicale). A signaler également que les observations de myofasciite
à macrophages (MFM) n’ont pas été retenues dans cette étude en raison de
l’absence de « critères reconnus ». Ce qui est un moyen d’éviter de
recenser une pathologie récemment décrite et qui pose il est vrai, des
questions dérangeantes, notamment le rôle neurotoxique de l’adjuvant
aluminique. Le syndrome de fatigue chronique ou « encéphalomyélite
myalgique » (SFC/EM), dont relève la MFM, est pourtant officiellement
reconnu dans la classification CIM-10 des maladies. Il n’a pas non plus été
intégré parmi les pathologies recherchées et l’on sait bien que l’on ne
retrouve que ce que l’on cherche.
Certaines autres « nouvelles » pathologies
ont également été rapportées dans les suites de vaccinations anti-HPV depuis
2013.
- Au Japon, une publication a d’abord décrit une série
de 40 cas de CRPS (syndrome de douleurs régionales complexes) [23] ayant
pour conséquence l’arrêt, au bout de 2 mois, de la campagne vaccinale mis en
place par les autorités sanitaires de ce pays.
- Au Danemark, c’est un groupe de 35 sujets [24] se plaignant de symptômes regroupés
sous l’acronyme POTS (syndrome de tachycardie orthostatique posturale) qui est
rapporté.
- Chez les adolescentes voisines du Pays-Bas, ce sont
des observations de syndromes de fatigue chronique ou encéphalopathie myalgique
(SFC/EM) qui sont recensées [25] avec le Cervarix.
Toutes ces pathologies inexpliquées ont en commun des
symptômes assez banals : outre la fatigue persistante, des céphalées, des
vertiges, des faiblesses musculaires ou des myalgies des membres et parfois des
troubles du sommeil, des troubles neurocognitifs, des palpitations, des
troubles vaso-moteurs… Malgré ces alertes multiples, l’EMA (Agence européenne
du médicament) a conclu que ces symptômes indéfinis n’avaient pas de lien
prouvé avec la vaccination anti-HPV.
Il est bien sûr logique de tenter de regrouper ces
différents syndromes qui pourraient avoir comme origine commune le rôle
délétère de l’adjuvant à base d’aluminium contenu dans la plupart des vaccins
comme ceux dirigés contre le HPV (Ce d’autant que l’adjuvant du Gardasil est de
l’hydroxyphosphate d’aluminium qui beaucoup plus immunogène). La difficulté
d’établir un lien de causalité est surtout le délai qui sépare l’injection de
l’adjuvant aluminique et le début des manifestations de ces maladies. Ces
pathologies peuvent s’installer progressivement avec un décalage qui peut être
de quelques années pour la MFM. Les observations de MFM rapportées à la
pharmacovigilance française ou les cas de POTS ou CRPS rapportés dans les pays
concernés restent peu nombreux probablement pour cette raison. Il est vrai que
ni les personnes atteintes ni les médecins ne pensent systématiquement à faire
le rapprochement entre ce type d'affections et une vaccination anti-HPV ou une autre
immunisation, réalisée quelques mois ou années avant puis oubliée.
Il faut également se souvenir que la plupart des
études de tolérances des vaccins comparent des cohortes de personnes vaccinées
et de personnes recevant un placebo qui contient habituellement l’adjuvant
aluminique du vaccin. Il est bien évident que si l’aluminium vaccinal est à
l’origine de certaines pathologies comme la MFM ou le SFC/EM, celles-ci ne
seront jamais mises en évidence par de tels protocoles d’étude. C’est ce qui
s’est passé pour le Gardasil. L’utilisation d’un pseudo-placebo (contenant
l’adjuvant aluminique) permet de générer possiblement des effets indésirables
dans le groupe contrôle, ce qui minore un éventuel signal d’effet secondaire
dans le groupe vacciné.
Le protocole de l’essai clinique
« princeps » de l’industriel Merck a utilisé des procédures
permettant de négliger ou ignorer certains effets secondaires possibles. Seuls
les évènements indésirables considérés comme « graves » par les expérimentateurs
devaient être rapportés. Les autres étaient classés paradoxalement dans une
rubrique « nouveaux antécédents médicaux »…[26]. De plus la fenêtre de
surveillance d’éventuelles complications post-vaccinales est restée limitée à
14 jours, alors que la survenue d’une pathologie auto-immune peut être
évidemment beaucoup plus tardive. Le laboratoire a de plus décidé de ne mentionner,
dans ses recommandations officielles, que les affections post-vaccinales dont
la fréquence serait supérieure à 1%. Il est bien évident que lorsqu’un vaccin
est utilisé à l’échelle mondiale, chez des millions de personnes, l’omission de
ce petit pourcentage peut permettre de ne pas mentionner des pathologies graves
et inattendues même si elles sont rares. C’est ainsi par exemple, qu’une
myasthénie grave a été récemment décrite en Corée, 3 jours après une seconde
injection de Gardasil 9, chez une femme de 23 ans [27].
Les atypies du système officiel de surveillance des
effets indésirables post-vaccinaux ne facilitent ni leurs déclarations ni leurs
reconnaissances, alors que l’on sait déjà que les professionnels de santé
déclarent spontanément moins de 10% des effets secondaires post-vaccinaux. Et
quand bien même une pathologie suspecte est rapportée à la pharmacovigilance
nationale (ANSM) et apparait sur ses rapports officiels, celle-ci ne sera pas
systématiquement visible dans le RCP (résumé des caractéristiques du produit)
du vaccin qui est destiné à informer et alerter les médecins à propos
d’éventuels effets secondaires post-vaccinaux. Le RCP du Gardasil oublie de mentionner
par exemple la possibilité d’une affection démyélinisante ou d’une névrite
optique alors ce sont les principales affections neurologiques rapportées par
l’ANSM. Aucune mention non plus de thyroïdite, de lupus ou de polyarthrite.
Malgré la multiplication progressive de cas de narcolepsies et hypersomnies,
l’ANSM n’a pas jugé bon de demander aux laboratoires de le rajouter dans la
liste des effets indésirables. Si l’on compare les listes de ces effets
secondaires possibles du Gardasil 9, d’un continent à l’autre [28], on s’aperçoit que les adolescentes
américaines et canadiennes peuvent être sujettes à d’éventuelles
complications que les européennes ne présenteraient pas : anémie
hémolytique auto-immune, myélite transverse, maladie du motoneurone
(c'est-à-dire sclérose latérale amyotrophique), embolie pulmonaire… et décès.
Vérité au-delà de l’Atlantique, mensonge en deçà ?
Autre fait alarmant, la présence dans les ampoules du
vaccin Gardasil de fragments d’ADN, attachés aux nanoparticules d’adjuvant
aluminique, constatation rapportée par le Dr Lee [29]. Sur 16 échantillons de vaccins en
provenance de 9 pays différents, ce sont des fragments d’ADN de virus HPV qui ont été ainsi détectés. Ceci pose problème sur
leur devenir une fois injectés, cet ADN va-t-il suivre le cheminement de
l’adjuvant aluminique auquel il est collé, notamment jusqu’au cerveau ?
CONCLUSIONS
PROVISOIRES
« La pratique généralisée des
frottis cervico-vaginaux devrait faire diminuer ce type de cancer en permettant
un dépistage précoce et efficace des lésions précancéreuses. Si cet examen
était pratiqué régulièrement, le cancer du col de l'utérus deviendrait
exceptionnel. » (Institut Curie – 2014). Ce
frottis est encore trop peu organisé en France alors qu’il devrait être réalisé
en principe tous les 3 ans entre 25 et 65 ans, peu couteux (20,22 €) et pris en
charge à 100%. Le message principal des autorités sanitaires repose surtout et
avant tout sur la promotion d’une vaccination onéreuse (136 € la dose) mais
miraculeuse qui pourrait presque faire croire que l’on est protégé à vie et que
les frottis sont devenus superflus. Cet effet pervers risquerait d’aboutir à
majorer l’incidence du cancer du col si les autorités sanitaires ne savent pas
faire passer le message de l’importance de ce dépistage régulier chez toutes
les femmes, qu’elles aient été vaccinées ou non.
La
généralisation (et bientôt pourquoi pas l’obligation ?) de cette
vaccination à toutes les adolescentes puis chez tous les adolescents
ensuite,
serait un gouffre financier : 2 vaccins à 136 € plus le prix des visites
à
multiplier par 370.000 filles à vacciner chaque année représente un
budget
avoisinant les 200 millions d’euros. Un passage en force se prépare
d'ailleurs déjà. Une "expérimentation" (terme officiel) dans certaines
zones géographiques (Guyane, Grand Est) va inciter tous
les collégiens (garçons et filles) à recevoir un vaccination gratuite
dans l'enceinte des établissements scolaires. Va-t-on demander pour cela
une autorisation parentale préalable (celle-ci n'est en effet plus
nécessaire à partir de l'âge de 15 ans). On a l'impression de revivre la
campagne effrénée de vaccinations contre l'hépatite B des années 90,
brutalement interrompue 4 ans plus tard par le Ministre de la Santé de
l'époque du fait de l'accumulation de cas de scléroses en plaques.
Est-ce qu’il existe une urgence et une menace
nationale telles que l’on priverait le budget de la Santé d’une telle somme aux
dépends d’autre priorités sanitaires plus évidentes ? Ceci ne tient pas
compte bien sûr de la prise en charge médico-sociale et des séquelles liées aux
effets indésirables de cette vaccination à large échelle.
La vaccination anti-HPV, non seulement ne protège pas, mais augmente le
nombre de cas de lésions précancéreuses du col utérin si les femmes vaccinées ont
déjà été contaminées, ce qui est relativement fréquent dès le début de
l’activité sexuelle. La pratique de soi-disant « rattrapages »
vaccinaux chez les femmes de plus de 15/16 ans est donc nocive.
Aucune certitude n’existe actuellement sur la durée d’action des vaccins
réalisés à l’adolescence et sur l’évolution des anticorps post-vaccinaux. Des
rappels vaccinaux ne seront-ils pas nécessaires ? Même si cette protection
contre les principales souches vaccinales oncogènes (16, 18 …) se prolonge, rien
ne prouve que ceci permettra de faire disparaitre progressivement les cancers
du col de l’utérus. Il n’est pas exclu que d’autres génotypes viraux viennent
contaminer les cellules du col utérin et remplacer les souches antérieures qui
auront été écartées.
La
présence de contaminants d’ADN viral dans le
Gardasil (alors que la notice mentionne bien l’absence de toute trace
d’ADN
dans ce vaccin), banalisée par les autorités de santé, est-elle sans
conséquences ? N’est-ce pas là un défaut de fabrication de la part du
laboratoire producteur ? Les effets indésirables potentiels des vaccins
contre
le HPV actuellement sur le marché sont variés et graves. Certains
(syndrome de
Guillain-Barré) sont certainement en lien avec cette vaccination.
D’autres
observations ponctuelles sont très troublantes, voire plus que suspectes
comme la survenue de cette encéphalomyélite aigüe disséminée (ADEM). [30]
Les vaccins doivent être considérés comme des médicaments, ils sont divers
et variés. Ils comportent des bénéfices mais aussi des risques, peut-être rares
mais réels, survenant chez certaines personnes et pas d’autres. Et notre
connaissance des effets secondaires est souvent tristement incomplète, trop peu
documentée et rarement rapportée. Dans le cas présent du vaccin anti-HPV, est-ce
que le risque ne l’emporte pas ici nettement sur un bénéfice plus que
douteux? Face à une telle volonté d’imposer la généralisation de la
vaccination HPV à toute une population d’adolescents malgré les nombreuses
incertitudes qui persistent, la question d’une alliance dogmatique entre
leaders d’opinion, autorités sanitaires et industriels doit de poser.
Comme on a pu le lire récemment dans la revue indépendante
PRESCRIRE (mars 2019) : « Toutes les informations
critiques sur les vaccins ne sont pas des « fake news » ou des
stupidités. Le débat aurait beaucoup à gagner si les pouvoirs publics et les
soignants les plus favorables à la vaccination n’en exagéraient pas les
bénéfices et n’en minimisaient pas les risques ».
Dominique Le Houézec
Conflits d'intérêts néant (sauf l'intérêt de l'enfant)
[20]
AFSSAPS.
Suivi national des effets indésirables du vaccin papillomavirus humain
Gardasil. Commission nationale de pharmacovigilance 22 nov. 2011
[21]
ANSM
Réunion du Comité technique de Pharmacovigilance - Séance du 11.09.2018
[22]
ANSM/CNAMTS. Vaccins anti-HPV et risque de maladies auto-immunes : étude
pharmaco-épidémiologique. 02.09.2015.
[23] KINOSHITA
T. et coll.
Peripheral sympathetic nerve dysfunction in adolescent Japanese girls following
immunization with the human papillomavirus vaccine. Intern Med. 2014;
53:2185–200.
[24] BRINTH L.S. et coll. Orthostatic intolerance and postural
tachycardia syndrome as suspected adverse effects of vaccination against human
papilloma virus. Vaccine. 2015; 33(22):2602–5.
[25] LAREB. Long-lasting adverse events following immunization
with Cervarix. Dec. 2015
[26]
JOELVING F. « Les essais cliniques du Gardasil ont-ils passé sous silence des
effets secondaires ? » et « Gardasil, comment le laboratoire s’est mis
lui-même une balle dans le pied ». Slate 05.01.2018
[27] CHUNG J.Y. Myasthenia gravis following human papillomavirus vaccination:
a case report. BMC Neurol. 2018; 18:222
[28]
AIMSIB. Gardasil 9: les françaises plus résistantes que les américaines
20.02.2019
[29] LEE S.H. Detection of human papillomavirus (HPV) L1 gene DNA
possibly bound to particulate aluminum adjuvant
in the HPV vaccine Gardasil® Journal of Inorganic Biochemistry 2012; 117: 85-92
[30]
FR3-Réseau d’enquêtes : « Vaccin, un trésor contesté » (Passage de 4 à 11 mn 30)
diffusé le mardi 09.04.2019
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